merde. merde. merde. merde. merde. merde. merde. merde.

Je suis merdement tanner de cette merde. non mais. elle s'en fiche de tout. de la psy. de ses médicaments. elle fait semblant de les prendre. ah oui, aussi, avec sa guitare, elle peut pas aller jouer dans sa chambre, faut qu'elle joue en bas, près de nous, pour être sure de nous tomber sur les nerfs. ou, si tout jamais elle décide d'aller dans sa chambre, elle met le son à fond léon. j'ai hâte, sois, qu'elle s'achète des écouteurs, ou que son emplif' brise. Je veux partir en Europe, me sauver, pour quelque mois. mais l'argent? je l'ai pas. donc je reste dans ma merde. messamble. avec mon père ( ouais, car bon, j'irais pas toute seule. et pas en famille, genre. et c'est cool voyager avec lui. ), un mois, en europe. voir simon, connaitre cet intelectuel mistérieux. et marc, son père, cet espèce de phylosophe bizarre. et catherine, sa mere, qui pense que je me rappelle d'elle. j'aimerais bien. j'aimerais beaucoup. pendant ce temps, joyeuses st-partick, en retard. je mange des biscuit au gingembre, sans gluten. pff. j'écoute The Withe Strippes, It's true that wel love one another. oh que j'aime cette chanson.

merci jeanne. jtaime. mikal.